Une vie de femme soumise - 1

Catégories : Femmes soumises sexuelles
il y a 8 ans

Auteur : Claudia

Mon mari adore que je le suce !

Et comme moi, j’adore mon mari, je vais au devant de son désir.

De toute façon je n’ai pas le choix : gare si j’oublie ! Gare si je n’ai pas compris le regard, le petit geste m’invitant à officier. Arrivée à la maison, mes cuisses s’en souviendront.

Nous nous sommes rencontrés à la fac, au début des années 80. Nous sommes rapidement sortis ensemble et je lui ai fait apprécié ma technique de fellation un soir au cinéma. Je me souviens de son regard quand je me suis penchée vers sa braguette. Dans le noir, j’ai sorti son sexe rapidement. Je voulais le sentir grossir encore entre mes lèvres. Il était chaud et doux. Je m’appliquais à titiller le gland avec le bout de ma langue et je fus surprise par sa main qui s’abattit à ce moment là sur ma nuque. Il me forçait à le prendre entièrement en bouche. Me tirant les cheveux en arrière, je remontais rapidement sa queue, reprenait ma respiration, et déjà, il me poussait à l’avaler de nouveau.

A cette occasion, je découvris plusieurs choses. Tout d’abord, la force de sa poigne ! Les larmes aux yeux je cherchais à me dégager de son emprise, mais sa main me ramener invariablement vers son sexe que j’embouchais. Également, je compris ce jour là ce qu’était un homme qui ne cherchait que sa jouissance. Sous son étreinte, je me sentais objet de plaisir. Il décidait du rythme de mes allées et venues. Il éjacula en me tenant fermement, m’obligeant à tout avaler. Enfin, la chose la plus étrange, je la découvris peu à peu dans l’heure qui suivit. Son bras autour de mes épaule, blottie contre lui, j’étais sensée regarder le film, mais je ne faisais que repasser dans ma tête la scène torride qui venait de se jouer entre nous. J’avais joui... Je devais me rendre à l’évidence, au moment où ses jets de sperme buttaient contre ma gorge, des milliards d’étoiles explosaient dans ma tête. Aucun amant ne m’avait prodigué une telle jouissance. J’avais joui sous ses manières de brute, ses méthodes sévères pour diriger nos ébats. Tel l’arroseur-arrosé, j’avais cru le surprendre par une fellation experte et m’étais retrouvée jouet dans ses mains habiles. Sur le trottoir, en sortant de la séance, j’aurais été incapable de vous donner le titre du film que nous venions de voir. Par contre, je n’avais jamais su aussi bien ce que j’allais faire : j’allais garder mon homme, le chérir et ne plus le quitter.

Un an plus tard, nous nous sommes mariés. Entre temps, j’avais découvert la fessée, la vraie, celle qui punit et qu’on redemande en même temps. Celle qui transporte vers des rivages chauds et ensoleillés. Celle qu’on craint aussi parce qu’elle signale une négligence, un oubli. Je due m’habituer à une nouvelle vie et ne pas craindre de le montrer. Au lit, je n’étais plus qu’une poupée gonflable qu’on manipulait. Tous mes orifices furent utilisés au plus grand bonheur de cet homme.

Mais le plus difficile fut hors du lit, de la chambre, de la maison. Sans jamais être explicite, je devais toujours me tenir sous son contrôle. Invités dans la famille, chez des amis, il s’installait dans un fauteuil et je me mettais par terre à ses pieds. A moi de trouver une justification plausible... et la crainte de la fessée favorise l’imagination, je vous assure ! Vous voulez que je vous raconte la première fois chez ma sœur et son mari ? Pour le café, nous passons dans le salon. Il s’installe confortablement et je me place en face de lui, dans le canapé : quand même, chez ma sœur ! Il faut faire attention ! Me dis-je. Je l’entend claquer des doigts. Je le vois me toiser mais je ne bouge pas. La fin de la soirée fut alors horrible. Il discuta cordialement avec sa future belle-sœur et son futur beau-frère. Il se fit apprécier par son sens de l’humour, sa répartie, sa culture, tout en m’ignorant totalement. J’apparaissais ainsi bien terne à côté de lui, au point que ma sœur me coinça un instant dans la cuisine et me demanda pourquoi je faisais la gueule alors que j’avais la chance de connaître un type pareil.

Vers minuit, nous les quittâmes. Nous n’habitions pas encore ensemble à l’époque (les convenances !) et il devait me déposer chez moi, en ville, alors que ma sœur habitait un petit village à une quinzaine de km. Quand il quitta la route pour s’engager sur un chemin de terre, en pleine nuit, me revint à l’esprit qu’il connaissait bien cette région, depuis son enfance. Il arrêta la voiture quelques centaines de mètres plus loin. Paraphrasant un film qui était sorti quelques années plus tôt, il me dit :

« dans cette espace, nul ne t’entendra crier ».

Nous descendîmes de la voiture. Je ne comprenais rien. Nous étions dans une petite clairière, au clair de lune. Il s’éloigna vers les premiers arbres en me jetant un « déshabille-toi ! » qui ne souffrait aucune discussion. J’enlevais ma robe et la posais sur le capot encore chaud de la voiture, puis le soutien-gorge. Depuis que je le fréquentais, je portais uniquement des bas et très rarement des culottes, aussi, mon effeuillage fut facilité.

Il revint avec des branches de noyer dans la main. Je frémis mais n’osais encore imaginer ce qui m’attendait. Il fit le tour de la voiture, ouvrit le coffre, en sortit une corde. Il s’approcha de moi :

— montre tes mains !

J’avançais les bras. Rapidement, il fit tourner la corde. Mes deux poignets furent emprisonnés. Il me tira ainsi vers les premiers arbres et attacha mes deux mains liées à une branche, au-dessus de ma tête. Il tira la corde pour que je ne puisses m’appuyer que sur la pointe des pieds. Ainsi immobilisée, j’entendais sa respiration dans mon cou. Je sentis sa langue jouer avec le lobe de l’oreille. Il chuchotait :

— je ne veux plus que cela se reproduise mon amour. Tu m’appartiens. Tu dois m’obéir. Je vais te corriger et plus jamais, tu verras, plus jamais tu n’oublieras où est ta place.

Il me dit tout cela très tendrement. Je le sens se retirer et, de suite, une brulure déchire ma fesse droite, puis la gauche. Je hurle. Je le supplie de cesser, puis je l’insulte, le traite de malade. Les coups continuent de pleuvoir. Il a maintenant changé de côté pour atteindre mon ventre. Les branches de noyer me cisaillent et me transpercent en même temps. Je ne suis maintenant que pleurs. J’endure et attends la fin de ce calvaire. Je ne réalise même pas que les coups se sont arrêtés. Il détache mes bras et je m’effondre dans l’herbe. Entre deux sanglots, je tente de reprendre ma respiration. Je cligne des yeux et derrière un voile de larmes je le vois s’éloigner, ranger la corde dans la voiture, puis revenir, une branche toujours dans la main.

Avec celle-ci il me caresse l’épaule et le dos meurtri. Le ton a changé. C’est d’une voix dure qu’il s’adresse à moi :

— mets-toi à quatre pattes !

J’obtempère, redoutant sa colère. Sa main caresse doucement ma croupe, mon cul. Elle s’insinue entre mes jambes que j’écarte, facilitant la progression. Il fouille ma toison, à la recherche du tendre bouton, et constate que je suis déjà trempée !

— Tu ne peux renier tes désirs les plus profonds.

Je suis rouge de honte et de confusion. Il a raison. Je viens de souffrir et de jouir en même temps.

— Dès demain, tu vas épiler ta toison. Je ne veux plus jamais voir un poil pousser

sur ton mont de vénus. Ce sera ta punition pour m’avoir désobéi.

Maintenant qu’il a constaté mon plaisir, il se sait victorieux. Il sait que demain je serai encore là à quémander son regard, ses caresses... ses ordres. Je l’entends se redresser. Un bruit de fermeture éclair. Je redresse tête, il attrape mes cheveux et dirige mes lèvres vers sa queue. Je le prends avidement, lèche le bandeau de chair, le laisse s’enfoncer de nouveau, au plus profond.. Mes mains caressent ses bourses mais il me l’interdit rapidement. Il veux que je les croise derrière la tête. Ainsi, bien redressé, il s’enfonce, au rythme qu’il a choisi dans ma bouche, jusqu’à la jouissance.

A suivre

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